Au seuil de mon tombeau
Le vent jouera-t-il de l'orgue
Dans les cîmes
Et quelques notes de piano résonneront -elles
En haut des cieux
Que les ombres de la nuit
Redessinent ton image
Dans l'agonie de mes soupirs
Que ne suis-je immortelle ?
Pour garder éternellement
Dans mon coeur ton visage
Afin que jamais tu ne meures
Dans les fièvres de la nuit.